đŸ‡łđŸ‡± PĂȘche dans les Polders đŸ‡łđŸ‡±

Retour de Fred B. sur une journĂ©e dans les Polders, oĂč il aura su faire preuve de patience et de persĂ©vĂ©rance.

C’est l’automne, la saison pour moi qui rime avec pĂȘche du brochet. Profitant du week-end du premier novembre, je me suis dirigĂ© avant l’arrivĂ©e de la tempĂȘte dans les polders aux Pays-Bas dans le but de voir si les spots sont pĂȘchables (pas trop de vĂ©gĂ©tation) et si nos amis les brochets Ă©taient enclins Ă  s’emparer de nos leurres.

PremiĂšre constatation, les spots sont accessibles et pĂȘchables aisĂ©ment. Nos amis hollandais sont trĂšs attentifs et soignent particuliĂšrement bien leurs rĂ©seaux de canaux. Avant l’hiver et les Ă©pisodes de pluies soutenus, ils dĂ©barrassent ces canaux des plantes et de la vase accumulĂ©e pendant les beaux jours.

Ce jour là je me retrouve donc dans la région de Gouda pour un tour entre les champs et tenter de faire réagir un poisson. Malgré quelques éclaircies, le temps est assez maussade, les températures viennent de chuter, le vent et la pluie sont également de la partie pour nous refroidir réguliÚrement.
Mais ce sont les joies de la pĂȘche en automne.

Les leurres

Dans ma boßte, je me suis équipé de Neo Shallow texan en 9cm et en 13cm, de Sandra en 16cm, quelques Skeleton en 14cm et de Spinner Flex.

 

Une journée compliquée

TrĂšs dur. Les poissons ne bougent pas. Il y a encore des nuĂ©es de petits poissons. On assistera d’ailleurs Ă  quelques chasses qui nous ont laissĂ© espĂ©rer de faire plus de poisson.
Mais on voyait trĂšs bien que les brochets se nourrissaient encore dans les boules d’alevins. Leur tactique est simple, une grosse accĂ©lĂ©ration, la gueule ouverte et on ramasse tout ce qu’il y a.

A la fin de la journĂ©e je comptabilise une touche au Sandra et un joli poisson bien gras qui s’est emparĂ© tout doucement de mon NĂ©o Shallow. Pour optimiser mes chances j’ajoute un triple montĂ© sur un Ă©merillon baril Ă  mon hameçon texan.

Il repart aussitĂŽt aprĂšs une jolie photo.

 

Fred pike Polder

A trĂšs vite, FrĂ©dĂ©ric B